Bonjour Petite Musique !
C'est amusant, on dirait. Moi aussi, je peux jouer ? N'importe qui ? Oh ...
Salut Djambee !
C'est amusant, on dirait. Moi aussi, je peux jouer ? N'importe qui ? Oh ...
Salut Djambee !
Le mauvais côté ? Hé oui, tous ces gens tournent le dos aux musiciens, aux passants, à la galerie marchande, aux queues devant les glaciers, aux queues devant le marchand de churros, aux queues devant l'embarcadère pour la promenade en mer avec vue sur le feu d'artifice, aux terrassses surpeuplées des bars et des restaurants, aux bancs surchargés (jusqu'à 10 personnes sur le même banc), aux prestidigitateurs, aux rosalies pédalantes, aux étals des artisans, tresses africaines, tatouages, caricatures, bref ils tournent le dos à tout le tralala.
Du côté où ces gens regardent, il n'y a aucun mouvement. De beaux voiliers, mais amarés.
Je crois qu'ils n'ont trouvé nulle part ailleurs pour s'asseoir.
Et AniLouve ? Elle a fui ! Dur dur les vacances.
Mais non, ce ne sont pas des diables de tonneaux, mais des tonneaux sur des diables. Et il n'y a rien DANS les tonneaux, c'est SUR les tonneaux que cela se passe, chante et danse.
C'est bien calculées, ces estrades portatives, non ? Tiens, en Camargue, au lieu de prendre des barriques sur diables, ils auraient pris des bourriques sur pattes, et je voudrais les y voir au moment de leur sauter debout dessus pour chanter en cadence. Et dans le désert des chamelles ...
Récapitulons : pour faire la fête, il faut un tonneau, un vieux raffiot, et encore quelques tonneaux ! Je salue donc les vieux raffiots et mieux les tonneaux. Mais qu'y a-t-il dans les bariques ?
Clic ! Clac ! Clic-clac !
Ohhh ... la belle bleue !
Un feu d'artifice ?
Non ! Un vieux fauteuil fatigué qui laisse sa place à la relève de la garde. Désormais, nous poserons nos délicats fessiers sur le clic-clac du 14 juillet. Et ce n'est pas donné à tout le monde.
Liberté, Egalité, Fraternité ?
- Dis donc, Cumu, tu te planques dans le placard ?
- Ton Scotch a bien le droit de venir s'y réfugier lorsqu'il a peur. Je le vois souvent.
- Et toi, tu as peur ?
- Non, mais ... ailleurs personne ne veut de moi.
- D'accord, tu peux rester là. Tu n'as besoin de rien ? Un petit oreiller ? Un verre d'eau ?
- Non, merci AniLouve. Mais, si tu veux bien, Ne ferme pas complètement la porte. Juste un peu, s'il te plait. J'observe le monde par l'ouverture.
Anilouve, ton frigo, ton frigo va trop ... lentement ! Le dessin a cinq ans quant à l'heure de gloire (?) des joueurs (tu les connais, toi, Escudé, Souillac, Gouou ?) , elle remonte à l'euro 2010.
En gros, tu as cinq ans de retard, AniLouve.
Pour les lunettes de soleil, c'est bon, c'est le moment. Salut lunettes !