Bonjour L'homme invisible !
C'est le premier mai, l'homme invisible se repose !
Salut Homme invisible - ne compte pas sur moi - j'aime que ce soit plus douillet.
C'est le premier mai, l'homme invisible se repose !
Salut Homme invisible - ne compte pas sur moi - j'aime que ce soit plus douillet.
Hé, toi, la brindille en bas à gauche, c'est ton jour. Il ne faut pas te cacher, tu dois te mettre en plein devant, c'est toi la plus petite, et je crois que c'est ta fête d'anniversaire. Bon, si je peux me permettre, quelques fleurs, quelques cotillons, quelques bouteilles, des petits fours, des bougies, ce serait plus riant.
Ha, je me suis trompée ! C'est une répétition circasienne.
Alors, salut Brindille Brin de Bois
Tu as fait le mur ?
Ce mur, on va se le faire !
Il est bein tentant le mur du monsieur qui nous a laissé son zéro6, tout frais, tout crémeux. Je vais l'appeler pour savoir s'il paie bien.
C'est peut-être une femme.
Une femme ? Je vais l'appeler aussi. Tu crois qu'elle est du genre à donner des ordres, genre : là tu me fais un chat mi-ange mi-démon qui, jugé sur un vieux skate, fait de la planche sur un fleuve en crue ; en dessus le ciel se déchire et un parapente se se glisse par l'ouverture ; avec plein de débris partout, et un pont en flamme, et un doigt vengeur ?
C'est-ce que tu voudrais faire ?
Ce serait bien, non ?
Et tu sais faire ?
Non !
Et salut aux artistes des rues, j'en admire plein.
En jouant à saute mouton d'un blog à l'autre, je suis tombée sur le blog Mil et Une dédié à l'écriture conviviale et qui propose chaque semaine un thème d'inspiration sous la forme d'une image. L'envie m'est venue de participer. Hélas, emportée par l'enthousiasme, j'ai pondu un texte trop long. On va donc procéder ainsi : je publie mon texte, et vous, vous ne le lisez pas. C'est bien ainsi, non ?
- Ah, mais je te reconnais toi, tu traînes souvent dans mes pattes. Qu'est-ce que tu fais là ?
- Ben ... J'essaie de faire un selfie.
Si vous avez véritablement besoin de nettoyant à vapeur pour volcan en éruption, c'est sûr, vous avez une ménagite aigue. Cessez immédiatement toute activité et prenez au mieux des vacances au pire un congé de maladie. Tant pis s'il reste quelques cendres qui volètent ou quelque lave qui traîne. Même si la pub vous assure un nettoyage facile, il n'en est rien, c'est tout à fait mensonger. Et d'abord, ce volcan à qui vous envisagez de rendre sa propreté originelle, il est à vous ?
Ménagers compulsifs, Ménagères maniaco-déprimées, salut à vous ! Et si vraiment, vous êtes en manque, laissez un petit commentaire, je vous ferai parvenir une excellente adresse où vous trouverez une foultitude de choses à nettoyer (aucun volcan toutefois quoique je pourrais personnellement entrer en éruption).
Salut Chouette ! C'est drolement bien de ne pas recopier animalement. Ainsi avec tes petites ailes déployées tu vas pouvoir t'envoler. Et avec l'oeil gauche surhaussé, inutile de froncer les sourcils, tu peux surveiller les voleurs de tartines. Mais fais gaffe à ne pas perdre la tête, et les pattes et les pattes, Amusette !
Pour éviter toute contestation sur l'affutaison de mes crayons, je salue aujourd'hui mon taille-crayon à lame hélicoïdale durable dont la plaque extensible frontale dispose d'un mécanisme d'auto-alimentation qui s'arrête lorsque la mine est taillée.
(Il est un peu snob, il a voulu que j'énonce son nom à valise, il dit qu'il n'a pas une rallonge sur le devant pour rien).
Je salue donc mon taille-crayon. Il a plus de dix ans et je n'en ai jamais eu de meilleur, ni de plus ludique. Dernièrement d'ailleurs, j'ai dû faire beaucoup de concessions : " - Et ce crayon là mamie, il est cassé, il faut l'apointer ? - Oui, si tu veux "
Je salue donc mon taille-crayon et je précise bien que c'est un taille-crayon et non pas un appointe-crayon ni un appointe à crayon. Il taille les crayons de couleur et les crayons de cahier mais pas les crayons à papier ! Il faut dire que d'un lieu à l'autre les noms changent mais en grattant c'est tout pareil.
Je salue aussi tous les aiguisoirs canadiens, et j'espère qu'ils seront nombreux, à qui la fantaisie viendraient de passer par là.
Le petit contrôleur de travaux finis qui figure sur la photo ne sert à rien. Est-il politiquement correct de le saluer ? Je me tâte. Disons oui, disons salut.