Qui ne connait Pastelle et ses Lumières de l'ombre ? Magnifique et tout et tout. 

Qui ne connait Violaine, l'un des modèles de Pastelle ? Un jour l'une a emballé l'autre, cela se passait ici.

Je la fais courte ?

Par un mystère mystérieux, le plastique à bulle de cet emballage est venu frapper à ma porte. Je ne parle pas d'un vulgaire plastique, cousin du précédent. Je parle de la véritable relique, les bulles personnelles de Violaine, celles-là même.

Je ne suis pas coupable, c'est le plastique qui m'a forcé la main, c'est lui qui a pris ces 5 photos en 5 minutes, en direct depuis les studios d'AniLouve, la première à bout de bras, les autres avec l'aide de M.

Bon, alors, le psy de service raconte qu'AniLouve traduit là un sentiment d'étouffement. Où va-t-il chercher cela ?

Salut l'emballage ! Merci Pastelle !

Les épingles à linges et l'étendage m'ont suppliée pour que je les salue également. Je leur avais pourtant demander d'aller se cacher. Salut le décor !

Je vous manque ?

Oui, oui, c'est toujours un message postdaté. Je ne suis toujours pas là. Enfin, je suis là maintenant mais pas plus tard alors plus tard AniLouve vous manquera, ou pas.

Peut-être qu'à l'instant où un visiteur observe AniLouve songeant à un recyclage extra temporel, et bien peut-être que pendant ce temps là AniLouve prendra son premier bain de mer.

Comment cela, la correspondance des temps n'est pas bonne ? Et l'eau de mer, vous croyez qu'elle sera bonne ? J'espère que non. Je devais y être, mais finalement, j'ai choisi le dentiste. Zut !

Salut maintenant. Salut demain !

Ecoute moi bien. Tu es la dernière arrivée, alors tu ne l'ouvres pas trop, tu observes et tu te fais petite. Toute petite. Parce que tu sais, j'ai usage d'une chaise de bureau, mais je ne vois pas trop où je vais te poser. Et  il y a toujours la cave, noire et humide, avec des araignées et des souris, des vieux pots de peinture et des vieilles planches (je n'arrive pas à en ouvrir la porte mais cela tu l'ignores). Pour la douche, c'est hors de question ; tu peux te laver là dans la cour.

Quoi d'autre ?

Ah, oui, il va falloir me supporter.

Et au fait, qui t'a dit qu'il y avait ici un refuge pour les meubles du trotoir ? C'est pourtant top secret.

Salut Petite. Ça va aller, tu verras. Mais chut ...

Non, je ne peux pas dire bonjour, c'est fermé ! Et je ne peux même pas râler. Mais tout de même, cette photo date d'aujourd'hui, et pour moi ce n'est pas férié. C'est vrai qu'à la retraite, les vacances, on en profite moins, raison de plus pour râler.

Sauf que Fils chéri, lui, il va profiter du 8 mai (demain) pour venir voir sa Mâman.

Alors, non, je ne râle pas.

Mais je ne peux pas dire bonjour.

Vous pouvez cliquer.

Projet 52, c'est pour les phototographes, toutes les semaines un thème imposé et en avant l'imagination. By Donlope.

Je peux cafter ? Oui, je peux, c'est mon blog . C'est la faute de  Spiruline si je m'interesse à la chose : je suis son blog et elle participe magnifiquement.

La semaine dernière le sujet était "vue de dessus". Impeccable.
Cette semaine, c'est "vue de dessous".
Ils exagèrent non  ?  Ensuite on aura la vue de face, la vue de gauche, de droite ?  Bref, cette histoire  m'a trop fait marrer, et j'en ai bien besoin. Je précise que le dessin industriel fut une de mes bêtes noires. Avec l'excellente vision de l'espace qui m'est appartie et avec une latéralisation fantaisite, j'en ai bien sué. Et je ne parle pas de la galère du porte plume et des tire lignes, cela ferait tâche.

Alors voilà, à titre exceptionnel, je participe.
Il s'agit donc d'une vue de dessous.
Attention, sur le dessin, on voit une vue de face, de dessus et de côté et  il n'y a pas la vue de dessous, (les vues de dessous sont moins aimées que les autres par les profs ; les cinéastes, les fétichistes, non).
En fait, il y a deux dessins, un PIGEONNEAU et un COULISSEAU ! Et ce sont des dessins de Fille Jolie (pas celle-là, l'autre !).

Bon, alors, pas de vue de dessous ?

Ah, mais si !!! Les dessins sont sur ma table basse vitrée et je les ai pris en photo par en dessous. C'est donc bien une vue de dessous.

Et pour faire bien les choses, vous avez aussi un autoportrait vu de dessous.

Mais  je vous l'avoue en confidence, de dessous, je n'ai rien vu car comme on peut le constater ma tête et mes yeux sont dessus et non dessous.

Salut la vue de dessous ! Un salut en coin, naturellement, sans queue ni tête.

AniLouve a visité ceci, AniLouve a visité cela, RasLeBol La La La !

AniLouve a également visité la petite Merveille.

Jalouse je suis, je lui ai volé son joujou, et Toc !

Pas grave, elle me le donne son jouet si je le veux, et elle me regarde avec des yeux comme des soucoupes.

C'est vrai, quoi, jamais je n'ai eu un bintz comme celui-là ...

Salut le jouet de la petite Merveille ! Et salut Petite Merveille ; regarde le monde et souris.

J'ai reçu un cadeau d'anniversaire. On se souvient de Teddy-Dog. Là, je parle d'un autre cadeau, qui a pris un chemin détourné, avec escale et correspondance. Il est arrivé lundi. C'est un livre. Wilder Mann ou la figure du sauvage, de Charles Fréger.

Que je dise immédiatement que ce livre est dédié à la Baleine Blanche. Qu'on se rassure, ce n'est pas moi.

Il est question de ces hommes d'Europe qui célèbrent le cycle des saisons en rentrant dans la peau du "sauvage", fourrures, ossements, végétaux, cloches, cornes et bois. Superbes.

Dans la région, en Vallespir, on a la fête de l'ours : les ours cavalent après les jeunes filles, les renversent et les maculent, pour finalement redevenir des hommes. Mais ces traditions du sauvage sont plus vivantes  dans des pays de l'est,  dans les forêts, là où la nature est encore indomptée.

J'en saurais plus lorsque j'aurais lu le livre.

En attendant, je suis très inquiète. On le serait à moins, non ?  Le cadeau était accompagné du message suivant : "Te voilà en tous cas équipée d'une bonne documentation pour répondre à mon prochain défi sur ton blog". D'où le titre "Bonjour le cadeau !" comme l'on dirait "Bonjour les dégâts !".

Qu'est-ce que l'imagination débridée de mon ami va inventer ? Je me prépare. Je suis prête à tout.

Salut le cadeau ! Merci plein plein.

(Enfin, peut-être ne devrais-je pas me réjouir, car le défi est arrivé en même temps que j'écrivais ce bonjour. On en reparlera forcément).

Je voulais amener un sourire au coin des lèvres d'un ami, lui réchauffer un peu les zygomatiques faute de lui réchauffer l'âme. Juste des images, pour un sourire.
Après deux nuits d'effort, ou un peu plus, je ne suis pas trop mécontente du résultat. Mais comme je ne suis pas maître de ce que je produis, la flamme de l'espérance est pour le moins gelée.

Pour le sourire d'un ami.

Salut la vidéo ! Salut l'abbé Pierre ! Salut l'ami !

Autoportrait Inuit, auteur anonyme, 2011

TaiTouApa est un mouvement tout à la fois universel et confidentiel.
Universel : il concerne tous les peuples, tous les âges, et tous les arts, de la peinture à l'écriture en passant par le chant grégaire et la pâtisserie.
Confidentiel : l'essence même de ce courant artistique veut que ses auteurs ne soient pas publiés, ses peintres non exposés, que ses musiciens ne donnent pas de concerts ; les oeuvres des TaiTouApapistes restent méconnues.

Tu ne sais pas dessiner, dessine.
Tu ne sais pas parler, hurle.
Tu ne sais pas, ne renonce pas.
Tais Toi Pas.
Telle est la devise des TaiTouApapistes.

Certains critiques suggèrent que les TaiTouApapistes n'ont pas dépassé la maternelle, pire, souhaitent la retrouver. C'est possible.

Salut TaitouApa ! Salut les fous !

(7 février 2011)
En vraie, vraiment ?

Salut Bibenda ! La déprime, ça passe ?